Notre édition Drive to TEAM continue avec Nawal Sissi, notre Responsable communication.
Aujourd’hui dans l’édition Drive to TEAM, DooH it laisse la parole à Nawal Sissi qui nous délivrera son parcours ainsi que sa plus belle réussite.
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Salut Nawal, bienvenue dans cette édition Drive to TEAM, comment vas-tu aujourd’hui ?
Salut Shem’s, ça va toujours quand il s’agit de parler de moi !
Peux-tu nous parler un peu de ton parcours scolaire ?
J’ai longtemps hésité sur ce que je voulais faire de ma vie mais une chose a toujours été sûre pour moi : je voulais être utile au monde. C’est certainement la raison pour laquelle je n’aurais jamais dû faire une licence de droit. Ça a malheureusement été le cas (promis, les juristes, je rigole).
Plus sérieusement, j’ai ensuite rencontré la pâtisserie entre deux jobs alimentaires, mais cette fois encore, je ne m’y retrouvais pas.
Fatiguée de ne pas savoir comment concilier mon désir d’être proche des autres, mon besoin de créer et de résoudre des problèmes, j’ai contacté une association qui m’a permis de dresser mon profil de compétences. Quand le verdict est tombé, il ne m’a jamais semblé aussi juste (vous voyez que je n’ai rien contre le droit !)
Le verdict ? La communication.
J’ai alors entamé une formation de communication et marketing, c’est la raison pour laquelle je suis actuellement en alternance chez DooH it !
Qu’est-ce qui t’a amené chez DooH it ?
Mon talent, évidemment.
Non, encore une fois, je rigole. Tu l’auras compris, Shem’s, j’aime beaucoup rire.
Dans mon école, j’étais en formation initiale mais l’alternance me faisait de l’œil. C’était pour moi le meilleur moyen de connaître concrètement le monde du travail tout en aiguisant mes compétences théoriques. C’était aussi le meilleur moyen pour moi de prendre confiance en moi tout doucement.
Il me fallait donc une entreprise qui saurait me mettre en confiance, mais aussi et surtout un concept dans lequel je croyais.
DooH it est tombé à pic !
Challengeant sur le coeur de métier, avec une équipe plus qu’humaine*, DooH it avait tout pour me séduire… Et il faut croire que le jeu de séduction s’est fait des deux côtés !
Je travaille aujourd’hui dans le pôle communication et je relève des défis tous les jours.
*Exception faite à Papoug, le chien d’Antoine
C’est quoi ta journée type ? As-tu un rituel ?
Je n’ai pas de journée type. Je fonctionne à l’instinct.
Enfin, ça, c’était avant.
Depuis que je suis une working woman en devenir – mais une working woman qui ne s’est pas encore résignée à boire du café, n’exagérons rien – je ne me donne pas d’autre choix que de me lever à 7h30 tous les matins.
Généralement, je prends un petit déjeuner, sinon je suis de mauvaise humeur. Oui, je sais, le sucre c’est mal.
Pour me donner l’illusion de compenser, je prends l’initiative de marcher jusqu’au métro tous les matins et tous les soirs, histoire d’effectuer quotidiennement les légendaires 10 000 pas recommandés.
Au bureau, je bois beaucoup de thé, mais ma nourriture préférée, ça reste le lien que je crée avec les autres #InstantÉmotion.
Alors certes, je suis rarement celle qui parle le moins, mais quand il s’agit de bosser, je suis obligée de mettre des instrus de films dans mes oreilles pour me concentrer !
Évidemment, j’ai omis de parler des 6 heures journalières que je passe sur mon téléphone… Sinon, ça ne fait pas sérieux.
As-tu une réussite/fierté particulière dont tu voudrais nous parler ?
Quand tu m’as posé cette question, j’ai immédiatement visualisé une scène.
Université de Nanterre.
2018.
Concours d’éloquence.
Quarts de finale.
Un sujet que j’avais beaucoup de mal à avaler.
Un sujet que j’ai traité plusieurs fois, sans grande conviction.
Des pages raturées, déchirées, envolées.
Puis enfin, un déclic.
Pourquoi ne pas incorporer quelque chose que j’aime à ce sujet ?
Alors, j’y ai mis de la musique. Plus précisément, de la chanson française.
Apeurée face à ce jury qui me fixait, j’ai tonné : “Non, rien de rien, non, je ne regrette rien !”
Et quand la salve d’applaudissements a retenti à la fin de mon discours, je n’ai jamais été aussi convaincue de ne rien regretter qu’à cet instant là.
Cette expérience m’a prouvé que la résilience mène très souvent à la victoire. Que parfois, t’as juste envie de tout arrêter, mais que c’est quand tu continues que le meilleur arrive. C’est une phrase trop mal écrite alors je me contenterai de reprendre les sages mots de Dumbledore : “On peut trouver du bonheur même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir d’allumer la lumière.”
Un petit mot pour conclure ?
Arf, si j’avais vu cette question venir, j’aurais répondu la phrase d’Albus que j’ai citée juste avant !
Mais bon, finalement je terminerai en disant que ce sont vos choix, bien plus que vos aptitudes, qui déterminent qui vous êtes.
(Oui, c’est encore une phrase de Dumbledore. Chut.)
Enfin, pour conclure, si vous lisez cette interview, n’hésitez pas à la partager et à me contacter pour communiquer avec nos innovations ou pour rejoindre nos équipes.
Merci beaucoup d’avoir répondu à toutes nos questions pour ce Drive to TEAM !
A bientôt pour un nouveau portrait 😉